41 municipalités espagnoles exigent déjà de leurs propriétaires un échantillon de salive ou de sang pour créer un recensement génétique canin.
Rentabilité économique : Selon une étude réalisée par l’OCU dans plus de cinquante grandes villes d’Espagne, le nombre d’amendes infligées en 2020 pour ne pas ramasser les excréments de chiens était très faible dans toute l’Espagne et leur collecte était presque une anecdote : moins moins de 2 000 euros en moyenne par ville. Dans ce scénario, il y a une exception : la mairie de Malaga, qui, grâce à la mise en place du recensement génétique canin dans ses rues, a imposé un total de 166 sanctions, avec lesquelles les caisses municipales ont collecté plus de 40 000 euros. Le rendement économique est une preuve mesurable.
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